Dans notre vie de tous les jours, les appareils électriques nous entourent : électro-ménager fonctionnant tout le temps (réfigérateur et congélateur) ou par intermittence (lave-vaisselle, lave-linge, cafetière, four, cuisinière électrique, …).
De même, les appareils liés aux média sont omniprésents (téléviseur, chaînes Hi-Fi, ” box ” Internet, téléphone, …).
La consommation cumulée de ces appareils représente énormément d’énergie … qui est payée par le consommateur.
Logique, mais cela peut représenter une somme importante si les appareils sont énergivores. Autant disposer d’appareils économes en énergie pour le même service rendu, non ?
Devant le succès de l’étiquette énergie lancée en 1992, l’Union européenne a décidé en 2010 de réviser le dispositif.
La nouvelle étiquette comprend trois nouvelles classes (A+, A++ et A+++) afin de distinguer les appareils les plus performants jusque là rassemblés dans la seule classe A.
La consommation annuelle moyenne d’énergie des appareils de froid, des lave-linge, lave vaisselle et téléviseurs sera renseignée.
Enfin, des indications spécifiques seront affichées par type de produits : niveau sonore pour certains appareils, consommation d’eau annuelle, présence d’un mode arrêt …
L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) publie donc un guide à destination du grand public pour apprendre à la décrypter.
Source : actu-environnement.com