De l’importance des mesures …
Lorsque les médias évoquent le réchauffement climatique, on croise deux types d’articles :
– ceux qui sont catastrophistes et qui ne donnent aucune information tangible ;
– ceux qui évoquent des biais / erreurs dans la démarche et qui laissent penser que le réchauffement climatique n’est pas si fort qu’annoncé par les scientifiques.
En France, nous avons plutôt droit au premier type d’articles, avec une petite dose de climato-sceptiques.
Aux États-Unis et autres pays producteurs de CO2 en quantités énormes (Chine, Japon, Nouvelle-Zélande, Australie, pays du Golfe persique), c’est la branche climato-sceptique qui est (très) puissante.
Un géochimiste, James Lawrence Powell, a compilé les articles relatifs au réchauffement climatique en deux catégories (sa méthodologie) :
– ceux qui montrent un réchauffement scientifique ;
– ceux qui montrent qu’il n’y a pas de réchauffement scientifique.
Le résultat est assez net !
Remarque : Les articles scientifiques sont évalués par un comité de lecture composé de scientifiques chevronnés de la même discipline (= peer-review). Cela permet de s’assurer de la qualité des travaux et de la publication ou non des travaux.